Les mythes sumériens et babyloniens, la littérature française, le théâtre allemand, entre autres, lui ont donné le goût des autres.
Les langues étrangères lui ouvrent de nouvelles portes sur de nouveaux mondes, de nouvelles formes d'art et d'autres façons de voir la culture.
A l'heure de la mondialisation, d'une culture que l'on peut penser similaire, les différences lui apparaissent comme étant une force, la possibilité de montrer autre chose, de l’inattendu.
Ce que l’on appelle aujourd’hui le monde arabe, plus précisément le Proche-Orient est la région du monde qui l’intéresse le plus en dehors des conflits politiques et religieux qui secouent le berceau de l’humanité.
Montrer que l’art et la culture vont au delà de la guerre, montrer que les artistes bien que vivant au milieu d’un pays en lutte peuvent illustrer autre chose que tout cela : c’est ce qu’elle veut faire.